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C’est un homme rassuré qui s’est adressé à ses partisans qui assurent sa protection depuis. Jacob Zuma n’a pas choisi la case prison.

C’est un homme rassuré qui s’est adressé à ses partisans qui assurent sa protection depuis. Jacob Zuma n’a pas choisi la case prison.

C’est en principe ce dimanche que Jacob Zuma devait se constituer prisonnier après avoir été condamné à 15 mois de prison pour outrage à la justice. Lors de sa première prise de parole dimanche depuis ce verdict, le septuagénaire a opté pour la bataille.

Soutenu par ses partisans, l’ex-président sud-africain est en passe de gagner son bras de fer avec la justice. C’est avec assurance qu’il s’est adressé à ses fidèles dimanche, non sans esquisser quelques pas de danse au son de la musique Zoulou.

« Vous avez donné à la nation l’espoir que personne ne sera jamais maltraité ou abusé sous ce régime démocratique. J’ai rencontré mes avocats et nous avons écrit des lettres que nous avons envoyées à la cour pour dire que nous aimerions plaider notre cause en disant que la condamnation était erronée et demander s’ils peuvent la réduire ou l’annuler.« , a-t-il déclaré.

Sa requête sera examinée le 12 juillet par la Cour Constitutionnelle. De quoi galvaniser ses troupes qui mettent déjà en garde les autorités sud-africaines.

Des centaines de partisans de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma ont promis en effet dimanche de rendre le pays ingouvernable s’il est emprisonné.

Depuis vendredi, ils campent devant la résidence de Nkandala de l’ancien président. Jacob Zuma jouit encore pour l’heure de sa liberté, un motif de satisfaction pour ses hommes.

C’est en principe ce dimanche que Jacob Zuma devait se constituer prisonnier après avoir été condamné à 15 mois de prison pour outrage à la justice. Lors de sa première prise de parole dimanche depuis ce verdict, le septuagénaire a opté pour la bataille.

Soutenu par ses partisans, l’ex-président sud-africain est en passe de gagner son bras de fer avec la justice. C’est avec assurance qu’il s’est adressé à ses fidèles dimanche, non sans esquisser quelques pas de danse au son de la musique Zoulou.

« Vous avez donné à la nation l’espoir que personne ne sera jamais maltraité ou abusé sous ce régime démocratique. J’ai rencontré mes avocats et nous avons écrit des lettres que nous avons envoyées à la cour pour dire que nous aimerions plaider notre cause en disant que la condamnation était erronée et demander s’ils peuvent la réduire ou l’annuler.« , a-t-il déclaré.

Sa requête sera examinée le 12 juillet par la Cour Constitutionnelle. De quoi galvaniser ses troupes qui mettent déjà en garde les autorités sud-africaines.

Des centaines de partisans de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma ont promis en effet dimanche de rendre le pays ingouvernable s’il est emprisonné.

Depuis vendredi, ils campent devant la résidence de Nkandala de l’ancien président. Jacob Zuma jouit encore pour l’heure de sa liberté, un motif de satisfaction pour ses hommes.

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