Face à extrême difficulté, voire l’impossibilité, d’obtenir le permis d’exercer, de nombreuses ONG se déclarent « société privée ».
La première arrestation, celle du responsable administratif de l’EIPR Mohamad Bachir, a eu lieu dimanche 15 novembre après la visite d’un groupe d’ambassadeurs au siège de l’organisation pour discuter de droits de l’homme.
Les arrestations suivantes ont eu lieu après la publication du communiqué de protestation du Quai d’Orsay, mardi 17 novembre. Des accusations de « diffusion de fausses informations » et « d’adhésion à une organisation terroriste » ont été formulées par le procureur de la Cour suprême de la sécurité de l’État.