0 3 minutes 2 ans

Le Président de l’Alliance Nationale des Jeunes (ANJ) a plaidé hier un renforcement de la communication . Selon Dame Ndiaye, participait a un panel organisé par Speak Up Africa dans le cadre du 9e Forum mondial de l’eau, 60% de la population senegalaise est âgée de moins de 35 ans.

Ce qui veut dire que que la jeunesse a besoin de la communication pour un changement de comportement. Mais surtout, fait il savoir, le plaidoyer sur la mobilisation de ressources endogènes afin d’appuyer les politiques publiques de l’état en matière d’assainissement. « Nous avons une jeunesse très organisée à travers des réseaux et associations. Elle joue un rôle dans tout ce qui est approche et changement de communication sociale pour éradiquer certains flèaux que nous avons commencé à avoir au Sénégal surtout par rapport aux questions d’assainissement », explique-t-il.


De son point de vue, Le premier aspect fondamental noté au Sénégal, c’est que l’assainissement la gestion des infrastructures est un problème de comportement. Pour pouvoir régler cela, il est d’avis que la jeunesse est un levier, un instrument sensible et fort sur lequel on peut s’appuyer pour trouver des stratégies inonvantes et régler régler toutes les contraintes liées à l’assainissement. « C’est de cette façon qu’on peut toucher les cibles qui à mon avis sont les plus concernées quand on parle des questions d’assainissement. Je crois que l’Alliance Nationale des jeunes, le conseil national des jeunes les associations des jeunes qui sont aujourd’hui regroupés à travers des plates-formes peuvent avoir un rôle important à jouer surtout dans la communication » », recommande-t-il .

Un autre volet aussi important soutient Dame Ndiaye c’est les moyens pour accompagner les politiques de l’état. « L’assainissement est un secteur qui necessite des investissements extrêmement forts et intelligents dans un délai très court. Parce que la croissance démographique n’attend pas. C’est pourquoi en tant que jeunesse on s’active beaucoup sur l’information la communication et le renforcement de capacité des acteurs », renseigne-t-il. A son avis il faut également un plaidoyer pour la mobilisation de ressources destinées aux collectivités territoriales. Ainsi elles pourront agir dans la mise en œuvre des politiques liées à l’assaisonnement.

Viviane Diatta

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *