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 L’avocat général pendant son réquisitoire a affirmé que les deux requêtes soumises à la Cour, visent les mêmes fins à savoir la suspension du décret fixant la date présidentielle. « 

« Ce que j’ignorais comme qualité aux juristes c’est ses compétences en la matière météorologique. Des éléments de contradictions qu’il faut relever. L’un des premiers aspects à relever est que les avocats doivent se borner aux conclusions du ministre public » Après relecture des requêtes toutes les questions agitées sur la compétence sont infondées. L’une des requêtes a été signée par les parties.

 Ce qui déborde sur la recevabilité. Je pourrais rajouter ces éléments de contradictions qu’on nous dit pour défendre cette requête ce n’est que pour défendre les décisions du Conseil constitutionnel parce que l’une des requêtes émanant des avocats on y trouve que des actes qui visent les éléments de constitutionnalité et de la Constitution. Ces deux sont intrinsèquement liés » a expliqué le parquet général. Il a ainsi demandé au juge de déclarer irrecevable la requête sur l’excès au pouvoir. Sachant que la déclaration d’irrecevabilité de la requête sur l’excès au pouvoir c’est comprendre que le référé en suspension en est une conséquence ».

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