La section cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert mercredi une enquête après la fuite sur internet d’informations sensibles de prés de 500 000 personnes en France, a indiqué le parquet ce jeudi 25 février.
L’enquête, confiées à l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC), a été ouverte du chef d' »accès et maintien frauduleux dans un système de traitement automatisé de données » et « extraction, détention et transmission frauduleuse » de ces données, a précisé le parquet.