Selon le document parcouru par Rewmi Quotidien, entre 2015 et 2018, 14 millions de véhicules légers d’occasion ont été exportés dans le monde.
Environ 80% de ces exportations ont été effectuées vers des pays à faible et moyen revenu, dont plus de la moitié vers l’Afrique.
Par conséquent, l’exportation de véhicules d’occasion vers les pays en développement a de graves conséquences sanitaires.
Ces véhicules contribuent de manière significative à la pollution atmosphérique et entravent les efforts visant à atténuer les effets du changement climatique.
Ce n’est pas tout. Le secteur des transports est responsable de près d’un quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre liées à l’énergie.
Plus précisément, les émissions des véhicules sont une source importante de particules fines (Pm2,5) et d’oxydes d’azote (Nox) et sont des causes majeures de la pollution atmosphérique urbaine.